En 1968, Jacques fuit Nice, la ville où il a vécu enfant, aux côtés de son épouse Lucie. Jeunes professeurs, ils se mêlent à l'effervescence parisienne. Jacques trouve alors la force d'être enfin lui-même et se laisse aller à son désir pour les hommes, quittant son cocon familial pour vivre sa vie. Au début des années 1990, il meurt du sida. La narratrice, sa fille Constance, raconte son histoire.